mardi 11 mars 2014

Théâtre < La grande et fabuleuse histoire du commerce>



< La grande et fabuleuse histoire du commerce>

                Cette grande et fabuleuse pièce de théâtre de Joël Pommerat, auteur de théâtre français, était mise en scène aux Bouffes du Nord l’année dernière. Elle est créée en 2011 et représentée à la Comédie de Béthune. Elle est devenue ensuite un grand succès en France. Le drame se compose de deux parties : l’année 1960 et 2000, et joué par cinq acteurs : Eric Forterre, Ludovic Molière, Hervé Blanc, Jean-Claude Perrin et Patrick Bebi. Ils jouent des rôles de cinq vendeurs, qui se retrouvent dans une chambre d’hôtel après avoir passé une journée à vendre des livres et des revolvers. Franck, le rôle principal, était jeune et a commencé comme un vendeur débutant en 1960 et était critiqué pour son manque de technique. En 2000, Franck était le chef d’équipe, et il a condamné sévèrement ses collègues. A travers cette pièce, l’auteur montre les vendeurs qui se combattent pour être le meilleur et comment ce système détruit tout lien de confiance entre les gens. 

                Selon moi, cette pièce parle d’abord des idéologies qui orientent les agissements des gens dans le commerce, et aussi les manières des humains aujourd’hui. Les activités commerciales, la manière de convaincre les clients potentiels, influence notre manière de penser et nos relations. Par exemple, les  mielleux vendeurs (Maurice, Rene, Philippe) n’ont pas respecté Franck parce qu’ils l’ont jugé comme un<loser>. Cette œuvre est, en effet, le critique à la société et au système.

                Par ailleurs, je trouve que cette pièce était originale  comme représentation, d’autant plus que le metteur en scène a modifié le décor de chaque scène --- les spectateurs avaient la possibilité de voir les scènes sous des angles différents.  Cependant, la variation de la lumière entre chaque scène était une faiblesse car elle a empêché la concentration et je n’étais plus attentive après les scènes des années 60. En plus, cela donne une ambiance monotone et répétitive. En revanche, les auteurs jouaient bien et, à un moment, j’ai pensé que Franck s’évanouissait de tristesse. 

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