Lorsqu'un ami étudiant d'art t’invite à une
exposition d’art, il faut l’écouter. C’est une sage décision. Je ne
connaissais pas le Palais de Tokyo jusqu’à ce que j’ai eu l’occasion de visiter
l’exposition de Philippe Parreno, figure majeure de la production artistique
française et internationale. Il s’agissait de plusieurs installations
distribuées dans une infinité d’espaces expérimentaux, chacun élaboré afin
de créer diverses expériences et trajets. J’ai été plongée dans l’imagination
et l’interprétation propre.
Parmi les installations, il y avait une œuvre qui a attiré particulièrement mon
attention grâce à son originalité. Celle-ci était située à l’intérieur d’un
salon obscur, si obscur qu'il était difficile de se repérer. La sensation de
pouvoir tomber était imminente. Soudain, un circuit de lumière s’est allumé de
façon intermittente pendant quelques instants et j’ai pu voir la dimension du
salon. Il était énorme et il y avait assez circuits d’ampoules de tout type distribués
sur l’espace qui s’allumaient et s'éteignaient sans arrêt. J’étais fascinée,
je n’avais jamais vu une telle création. C’était comme voir un jeu de
lumières et de sons qui avaient des différents usages que l’homme donne aux
circuits de lumières de façon transparente. Cela veut dire qu'à mon avis ces
circuits font partie des structures utilisées en divers contextes comme dans
les casinos, les panneaux publicitaires
et les parcs d’attractions.
Habiter à Paris me permet de
profiter d'un choix important en matière de manifestations culturelles sur
lequel je suis très heureuse de pouvoir partager avec mes amis. Après
environ deux heures de parcours des salons, je suis partie émue et
surtout très impressionnée par la qualité des expositions d’art en France.
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