A 16 ans,
lorsque je lisais “La vie passionnée de Vincent van Gogh”de Irving Stone, il y
avait l’illustration de plusieurs beaux tableaux, si remarquable que je ne
pouvais pas quitter mes yeux ,cela fait
l’image de sa vie plus sombre . Je me suis dit que je regarderai ses tableaux dans
la réalité un jour, à ce moment là ,je ne savais pas encore si je pouvais le réaliser
ou pas. Jusqu’à l’année dernière je pensais encore que c’était seulement une
illusion d’un enfant.
Un
jour, le ciel gris avec la pluie qui touchais doucement la terre et qui
embrassait les arbres ,j’étais là ,au quai de la seine ,devant le musee d’Orsay
,j’ai fait un petit sourire ,je laissais la pluie mouiller mon visage et mes cheveux .”voilà
,je vais te voir ，Vincent
van Gogh ! ”
J’etais perdue dans cette immense musée, ou les tableaux et les touristes se chevauchent mais un tableau m’a tout de suite séduit, cette
couleur bleu qui Gdomine le tableau à l’aire d’un large rideau qu’on met sûr
une fenêtre pour créer une douceur et un calme reposant dans une chambre , mais
celle-ci transporte aussi le chagrin de Van Gogh et du coup cette chambre
relaxante que j’ai imaginé se transforme en un triste refuge de nuit blanche qui
empêche de dormir, heureusement les reflets de la lumière et lès étoiles qui
brillent m’ont donné l’espoir de dormir et de faire des rêves.
PEIPEI
XIE
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