Je suis une personne avec tellement de
passions et d’intérêts que parfois je me
sens incapable de faire tout ce que je voudrais. Parmi mes passions les plus fortes, je peux compter : la danse, la littérature, la
photographie, la peinture, la musique et la botanique. Cependant, celle qui
m’attire le plus c’est la danse, discipline que j’ai pratiquée pendant quelques années. Du coup, je dois dire que je suis dessinatrice
industrielle, métier qui m’a donné une vision sur l’esthétique. J’aime bien les
produits avec une charge esthétique considérable, les belles créations.
Habiter à Paris représente pour moi
l’opportunité de profiter des meilleures créations mises en scène. Au moins,
celles qui à mon avis
sont les meilleures œuvres du monde. J’ai été émue lorsque j’ai eu l’occasion
d’assister à quelques spectacles du programme de Théâtre de la Ville. Celui-ci
est un exemple brillant de l’offre culturelle dont je parle. Ma dernière
expérience a eu lieu au Centre 104,
près de Riquet, afin de connaître la production de Louise Lecavalier, danseuse
canadienne. «So Blue» s’intitulait l’œuvre.
Toujours, lorsque je vais au théâtre je me trouve pleine d’expectative.
D’habitude je me transporte grâce à la musique, aux mouvements, à la capacité
de ceux qui arrivent à les réinventer. Des heures, des minutes pleines de
surprises, de mettre en évidence l’inimaginable. D’ailleurs j’y passe un temps formidable. La danse c’est
le reflet de ce qui danse et j’aime investir mon temps en regardant
l’expression corporelle
de ceux qui m’inspirent. Eduard Lock, mon chorégraphe
préféré, exprime cette idée de la manière suivante:
<Bouger
illustre le propos et les intérêts de la personne qui bouge. On bouge vers les
choses que nous intéressent, On s’éloigne des choses que on n’aime pas ;
ça crée donc une espèce de trace de nos désirs et nos hésitations>.
Eduard Lock
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