jeudi 27 février 2014

Anecdotes à Paris



Je suis en France depuis le 3 janvier. Dans ce court laps de temps, j'ai eu des aventures mais elles ne sont pas vraiment extraordinaires. Ce sont des anecdotes et des expériences que j'ai vécues à Paris avec ma famille et mes amis du DULF.

La première anecdote n’est pas amusante, j’étais fâchée. Ça s’est passé quand j'ai acheté la carte Sim pour mon portable, que j'ai rapportée de Colombie. Quand j'ai mis la carte dans le portable, il n'a pas fonctionné, j'étais fâchée parce que je l'avais débloqué pour rendre possible son utilisation  avec d’autres cartes. Cela signifie que j'ai été victime d'une arnaque. Donc, je l'ai fait débloquer en France, mais encore une fois, la carte n'a pas marché. Quelques jours plus tard, j'ai apporté le portable pour régler le problème et voilà ! Il a bien marché!, mais quand j’ai mettre le mot de passe de la carte Sim, je l’ai bloqué, et je me suis sentie stupide ; j’ai appelé le service pour débloquer la carte mais la seule solution était d’en acheter une autre.


La deuxième aventure est amusante et agréable parce qu’elle a eu lieu avec mes amis du DULF et parce que c’est une aventure  unique pour moi. Tout a commencé dans la classe de madame Jacob ; elle nous a dit qu’on devait aller au cinéma et Roger a dit qu’il avait plusieurs coupons qui étaient valables pour cinq jours. Il nous a invités au cinéma, mais seulement trois personnes ont accepté. Le lendemain nous sommes allés au cinéma Gaumont Pathé sur les Champs Elysées. Laura, Julie, Roger et moi avons vu un film qui s’appelle « Le loup de Wall Street » et nous avons beaucoup aimé le film. Comme les coupons étaient valides seulement pour cinq jours et qu’il en restait deux,  nous y sommes allés le jour suivant,  après la classe, près de l’Opéra et nous avons vu un film qui s’appelle « 12 years a slave ». C’est un film triste et bouleversant. Le lendemain, le dernier jour de la promotion, je suis allée au cinéma avec Laura et nous avons vu « La vie rêvée de Walter Mitty ». Au début du film, nous nous sommes un peu ennuyées mais nous avons beaucoup aimé la fin du film. Je n’étais jamais allée au cinéma si souvent, et comme c’était la première fois que je le faisais en France, c’est une expérience unique !

mercredi 26 février 2014

Saint François recevant les stigmates

  1. PRÉSENTATION

Saint François recevant les stigmates, peinture de l'italien Giotto et de son atelier, réalisée vers 1300.  



Réalisé pour l’église San Francesco de Pise, le retable est une tempera et feuille d’or sur panneau de bois mesurant 313 x 163 cm. Il est exposé au musée du Louvre à Paris et représente saint François agenouillé, vêtu de la bure, et recevant les cinq stigmates du Christ. En dessous, la prédelle illustre en trois panneaux d’autres épisodes de sa vie : la Vision du pape Innocent III, le Pape approuvant les statuts de l’ordre et Saint François prêchant aux oiseaux.
Giotto (1267-1337) est un peintre et architecte toscan qui est considéré comme l’une des figures majeures de la peinture du Moyen Âge gothique.


  2. DESCRIPTION

Tout d’abord, on note la forme inhabituelle du tableau et du cadre. La partie supérieure se terminant « en pointe » donne à l’ensemble une forme pyramidale qui souligne la monumentalité du saint. Par ailleurs, le cadre n’est pas peint, ce qui constitue une autre singularité. La partie supérieure du tableau est la plus importante de part sa grandeur. On peut y voir saint François recevant les stigmates, établissant ainsi une forme de lien entre le Christ et lui, une connexion douloureuse. La perspective ne suit pas un schéma « mathématique » : on ne distingue pas de ligne de fuite. Ici, la perspective est archaïque, elle est marquée par la hiérarchie des personnages. C’est leur taille sur le tableau qui permet de la mettre en évidence. Ainsi, saint François est plus grand que le Christ, lui-même plus grand que les maisons ou les arbres sur la montagne.
Le fond d’or fait référence au divin et se révèle perturbant lorsqu’on recherche la source de lumière qui illumine le tableau. Finalement, cette source lumineuse semble venir de la partie supérieure droite du tableau, peut-être du Christ lui-même.
On constate l’introduction de la nature dans ce tableau commandé par l’église : la montagne et les arbres représentent cette ouverture. Giotto est l’un des premiers peintres à s’émerveiller pour la nature.
On peut également remarquer une certaine souplesse dans les plis de la bure de saint François, comme pour donner de l’ampleur aux mouvements de ce dernier. La souplesse des tissus et les expressions de saint François et du Christ donnent un effet dramatique à l’ensemble. La mise en scène permet de voir les personnages en action, en mouvement.


  3. CONCLUSION

Giotto propose une nouvelle représentation de la réalité. En rupture avec l’idéalisation byzantine, il revient à une expression du réel dans laquelle priment la narration, l’ouverture de l’espace, la mise en situation des personnages, l’attention portée à la nature, le sens des détails concrets.


L’introduction d’une dimension humaine et psychologique renouvelle le rapport à l’absolu, au divin. Bientôt à maturité, la peinture de Giotto s’impose par le sens de la composition stricte des masses et des rythmes, de la plasticité des formes et des couleurs. Elle instaure un naturalisme dans lequel « l’espace », condition du développement des formes, et « l’expression », condition de l’effet dramatique, sont les deux conquêtes essentielles, déterminantes pour toute la peinture italienne.

CINEMA ANA MARIA TEJADA 5B


Mesdames et Monsieurs,
Le film que j’ai choisi de vous présenter c’est “Mange Prie Aime”.
C’est un film de Ryan Murphy avec comme actrice principale Julia Roberts.
L’histoire parle d’une femme avec beaucoup de succès dans sa vie professionnelle mais qui a une vie privée de plus un plus chaotique.
D’abord elle a décidé de mettre fin à son mariage à cause d’un manque de respect, d’amour et de compréhension entre eux.
Tout ce qui se passe autour d’elle provoque sa décision de partir pour changer son désir de vie et faire évoluer son esprit.
Son premier arrête Rome. Là-bas, elle a mangé et profité de tous les plaisirs italiens. Apres, Inde où elle a trouvé son être profond à partir de la méditation. Et pour finir, Bali, le lieu où elle avait promis de retourner à un vieil homme “sorcier”, elle lui a appris l’anglais et comme récompense elle aura son savoir et c’est à Bali l’ile dans laquelle elle trouve l’amour pour les autres, pour quelqu’un et pour elle-même.
Je me suis intéressée énormément a ce film, à tel point que j’ai acheté le livre, dans lequel il y a plusieurs différences et un peu ennuyeux.
J’ai trouvé très intéressant la manière de développement du film, on peut avoir envie de faire une chose pareille ou de créer notre propre aventure.

mardi 25 février 2014

L’INTERVENTION

Il s’agit d’une expression en face d’un combat. Il se trouve au musée du Louvre. Son énorme

surface ( H X L ) 385 cm x 522 cm, détail la bataille à travers une technique en huile sur toile. Son

peintre Jacques Louis David la qualifie comme un style Grec-pur.

Il y a plusieurs titre pour le nommer: Les Sabines, Les Sabines arrêtent le combat entre les

Romains et Sabins, L’intervention de Sabins.

La toile attire l’attention sur la participation des femmes, dans les combats historiques de

l’humanité. Où elles étaient effectivement présentes en défense de la paix.

Vraiment le tableau ne m’a pas laissée partir. je me suis arrêté en face lui. La contemplation était

simple, tranquille et plaisante.

C’est une œuvre incroyable, pleine de lumière et diversité.

La beauté des corps m’étonne. Le nu est propre et sculptural, comme les statues grecques.

L’auteur a bien défini son style.

L’ensemble de corps en mouvement transmet le combat en plusieurs plans. La richesse des

détails corporels est super bien rationalisée pour nous transporter à la situation d’une guerre et

d’un grand conflit. Rien n’a été oublié. Les enfants et leurs actions ingénues, les femmes belles et

fortes, les hommes combattants avec toutes leurs armes.

Les regards sont expressifs et pleines d’énergie. La simplicité des femmes transmet leur

intentions: Hersilie au centre, les bras tendus, s’interpose entre son mari et son père. Une autre

élève son fils en signe de paix. Tout les arguments sont mis en place pour qu’elles puissent réussir

leurs objectifs.

Maricia Silva

lundi 24 février 2014

C’est le film que je recommende




Titre: 37°2  LE  MATIN
Le nom du réalisateur: Jean-Jacques Beinex
L’année: 1986
Le Genre: Drame
Les acteurs principaux: Jean-Hugues anglade, Béatrice DALLE
La référence : http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=90562.html

<Le résumé complet>
Zolg (Jean-Hugues Anglade ) habite dans un bungalow près de la mer. Un jour, Betty,(Béatrice DALLE) une jolie jeune femme, débarque soudainement et lui dit qu’elle s’installe avec lui. Ils cohabitent en se noyant dans les plaisirs sous le ciel bleu ensoleillé. Mais, elle s’ennuie bientôt de leur vie. Un jour, Betty découvre par hasard une boîte en carton, dans laquelle il y a beaucoup de cahiers, qui sont des romans de Zorg. Après avoir fini de les lire, Betty glorifie son talent, et s’imagine que Zorg se retire dans la maison afin d’achever le roman.Cependant, il le laisse à l’abandon parce que de bonnes idées ne s’est pas venue à son esprit depuis longtemps. 

Ils partent à Paris,et logent chez Lisa et Eddy. Betty tape jour et nuit à la machine pour publier le roman. Toutefois, aucune maisons d’édition ne repond. 
Un jour, un rédacteur lui envoie une lettre avec une critique mordante. Betty commence à s’agiter. 

La mère d’Eddy est alors meurt, donc il leur demande de tenir un magasain de piano qu’il a hérité de sa mère, car il est patron d’un restaurant, et ne peut pas par conséquent quitter Paris. C’est pourquoi Betty et Zolg l’acceptent et y vont. Elle persiste à vouloir publier le roman, et en conséquence, se tourmente de plus en plus. Puis, elle pensait être enceinte. Néanmoins, elle s’est trompée, et tombe dans un délire. Elle est hospitalisée en urgence, après s’être enlevée un œil. Zolg se décide à la libérer de sa souffrance…


<Ma critique>
Betty est impulsive et d’un tempérament fougueux, ce qui me semble parfois extravagant et son caractère exigeant. Mais elle déborde de charme, de plus elle et est singulière et pure. Je peux affirmer sans exagération que ce film ne tient pas debout sans elle. 

Béatrice DALLE a fait ses débuts dans ce film. Elle nous a parfois montré des expressions excellentes, surtout une scène où elle est à la passerelle en pensant quelque chose. Cela m’a beaucoup impressionnée. D’autre part, Jean-Hugues Anglade, dont le  jeu brillant contribue à la qualité du film, conduit à une meilleure œuvre. Ensuite, ce qui est remarquable, ce sont la musique, les paysages, les images. En outre, la scène finale est exceptionnelle.  On peut l’interpréter diversement, à savoir toutes les histoires sont créées par Zolg ? De même, j’imagine que Betty  est  créée  par lui comme son idéal? Comme ça, nous pouvons développer la scène finale à notre gré.

Personnellement, je ne veux pas connaître l’amour, car cela me fatigue. Toutefois, depuis que j’ai 12ans, j’apprécie parfois ce film ,et ai trouvé que le français est une très belle langue.   La musique, les jeux des comédiens et les images, tous se combinent  harmonieusement par  conséquent, ils m’apportent les émotions. Malgré la film ancienne, il me donne une impression fraîche et il y a plein d’émotion. C’est inoubliable. 

Pour la petite histoire, en 2001, Jean-Jacques Beinex est venu au Japon. Il a fait une conférence à laquelle j’ai assisté avec des amies. Il a raconté une histoire sur 37°2  LE  MATIN, et a dit qu’après l’avoir achevé, il n’avait pas pu tourner d’autre film pendant huit ans. Il s’y est donné corps et âme. 

Nahoko GOCHO
group 5B

Un jour, un homme et un couteau....

J'aime beaucoup mon quartier qui est bien situé, pas loin de l'université et de tous les commerces. Il est assez dynamique mais aussi calme et agréable. Il y a de bons restaurants et cafés, de belles rues boisées et des immeubles centenaires. Souvent, après le repas, je me promène dans les vieilles rues et j'explore les jolis petits coins du quartier.

Un jour, après avoir promené mon chien, je suis rentrée chez moi. Soudain, j'ai entendu quelqu'un qui frappait fortement à la porte d'entrée. Quand je me suis tournée, j'ai vu de  l'autre côté de la vitre, deux policières qui m'ont demandé d’ouvrir la porte.  Elles semblaient très nerveuses. « Excusez-moi, Madame! » m’a demandé une policière, « Est-ce que vous avez vu un homme, avec un couteau, qui est habillé avec un tee-shirt noir et des baskets?... ». Comme j’étais très étonnée, elle a répété la même question encore une fois. L’autre policière a parlé rapidement  dans son talkie-walkie. 

« Un homme, avec un couteau?!! Mais non, je n'ai vu personne, je viens à peine de rentrer dans le hall». Deux autres policiers sont arrivés et ils m'ont demandé de les laisser entrer dans l'immeuble pour chercher l'homme. Pendant que les quatre policiers le cherchaient étage par étage,  quatre autres policiers sont arrivés et attendaient devant la porte. C’était une scène que j’ai vu souvent dans les films américains, mais je n’avais jamais imaginé que cela pouvait arriver un jour. « Est-ce que l'homme est fou ? Est-ce qu'il a déjà blessé quelqu’un ? » J’avais mille questions dans ma tête, mais j'étais trop choquée pour poser ou répondre à des questions et je ne savais pas du tout quoi faire.


Enfin, j’ai décidé de rentrer chez moi, même si j’avais peur qu’il puisse être là et se cacher dans mon appartement. Je ne me souvenais plus si j’avais fermé la porte quand j’étais partie. En tout cas, je suis rentrée chez moi et j’ai cherché partout et heureusement il n'était pas là.  


Quinze minutes après, j’ai entendu que tous les policiers étaient partis, sans rien  m’expliquer. J'ai été très prudente et anxieuse pendant une semaine, mais rien ne s'est passé. Ce qui m’est arrivé dans l’après-midi était comme un histoire irréelle. Mais cela m'a changé d'une façon que je ne peux pas vraiment expliquer, comme si l’homme au couteau était quelque part dans ma tête.

Musée Marmottan Monet – Les impressionnistes en privé



    Le 15 février 2014 je suis allée voir au musée Marmottan Monet une exposition nommée « Les impressionnistes en privé ». 100 chefs-d’œuvre de grands représentants de l’impressionnisme du XIXe siècle y sont présentés. L’exposition permet au grand public du 13 février au 6 juillet 2014 d’observer des tableaux de collections particulières pour la plupart jamais vus. Les artistes présentés sont Jean-Baptiste-Camille Corot, Eugène Boudin, Johan Barthold Jongkind, Édouard Manet, Frédéric Bazille, Claude Monet, Pierre-Auguste Renoir, Edgar Degas, Camille Pissarro, Alfred Sisley, Gustave Caillebotte, Berthe Morisot, Armand Guillaumin, Paul Cézanne, Mary Cassatt, Eva Gonzalès et Auguste Rodin.  Cette exposition vous propose non seulement ces toiles mais aussi deux sculptures, La Petite danseuse d’Edgar Degas et Le Penseur d’Auguste Rodin.

      Généralement, j’ai bien aimé cette exposition, c’est-à-dire la présentation des œuvres d’ordre chronologique, mais les couloirs du musée étaient assez étroits pour accueillir beaucoup de spectateurs, d’où la queue  à l’entrée, spécialement l’après-midi. De plus, une visite guidée m’a permis de  plonger dans l’histoire de l’impressionnisme grâce à un guide passionné par son métier et charmé par l’impressionnisme et de tout ce qui l’entoure.

   Ensuite, j’aimerais bien vous présenter un tableau qui m’a étonnée. Ce ne serait pas juste de dire que ce tableau était le plus intéressant, car les autres méritent bien sûr l’attention, mais j’ai choisi celui-là parce que je l’ai vu au début et j’y ai pensé jusqu’à la fin.

Je vous présente Quai de la Rapée d’Armand GUILLAUMIN (1841-1927)

Ces couleurs du ciel et de la rivière m’ont charmée. Ces nuages duveteux composant les chevelures des arbres encadrent des silhouettes des danseuses nues. Des  danseuses parce qu’ils ont, comme les danseuses, levé leurs « bras-branches » vers le soleil. Ces ombres des arbres sont très timides. Une belle journée d’hiver qui se déroule à Paris au bord de la Seine. Malheureusement, ce tableau est le seul d’Armand Guillaumin qui a été présenté dans cette exposition. Néanmoins, vous ne vous ennuierez pas grâce aux autres œuvres. 

   Pour finir, je voudrais ajouter qu’il ne faut pas manquer l’occasion d’aller voir Les Impressionnistes en  privé puisqu’il est rare que des chefs-d’œuvre de collections particulières soient accessibles au grand public.

Evgeniya DOLGANOVA
DULF niveau 6

evgeniy_dolg@mail.ru

L'exposition << Frida Kahlo /Diego Rivera --- L’art en Fusion>>



                En janvier, je suis allée au musée de l’Orangerie, pour voir l’exposition  << Frida Kahlo /Diego Rivera --- L’art en Fusion>>. Ce n’était pas la première fois que des chefs d’œuvre se sont étaient exposés à Paris ; en fait, les parisiens étaient toujours passionnés par les peintures de cette créatrice mexicaine extraordinaire.  Cette fois-ci, le mari de Frida Kahlo, Diego Rivera, est aussi le protagoniste de l’exposition, ce qui explique le titre  <<l’art en Fusion>>.

                Je suis particulièrement touchée par << l’hôpital de Henry Ford>> de Frida Kahlo, qui montre la douleur de sa vie. Les couleurs sont sombres et le plan est simple. Le personnage central (Frida Kahlo), pleurant, est attaché aux plusieurs éléments : un embryon, une colonne vertébrale brisée, un escargot, une orchidée fanée, etc. Ces éléments représentent ses émotions complexes : la colonne vertébrale brisée et l’escargot symbolisent le souvenir douloureux d’un grave accident et de ses conséquences lorsqu’elle était petite ; d’ailleurs, l’embryon reflète son sentiment de solitude et d'abandon après la perte de son premier enfant.

                L’orchidée fanée, en même temps, touche le thème de cette exposition. Les fleurs étaient le cadeau de son mari, qui est la personne dont elle était vraiment amoureuse. Malheureusement, à cause de son état de santé, Diego avait fréquemment des affaires avec d’autres femmes, même avec la sœur de Frida, Christina. L’orchidée fanée est donc le symbole de sa blessure et de sa consternation face au comportement de son mari. Pour moi, cette peinture rassemble toutes ses inspirations artistiques et sa philosophie de vie.