mercredi 19 février 2014

Les lumières de Philipe Parreno


Lorsqu'un ami étudiant d'art t’invite à une exposition d’art, il faut l’écouter. C’est une sage décision.  Je ne connaissais pas le Palais de Tokyo jusqu’à ce que j’ai eu l’occasion de visiter l’exposition de Philippe Parreno, figure majeure de la production artistique française et internationale. Il s’agissait de plusieurs installations distribuées dans une infinité d’espaces expérimentaux, chacun élaboré afin de créer diverses expériences et trajets. J’ai été plongée dans l’imagination et l’interprétation propre.

Parmi les installations, il y avait une œuvre qui a attiré particulièrement mon attention grâce à son originalité. Celle-ci était située à l’intérieur d’un salon obscur, si obscur qu'il était difficile de se repérer. La sensation de pouvoir tomber était imminente. Soudain, un circuit de lumière s’est allumé de façon intermittente pendant quelques instants et j’ai pu voir la dimension du salon. Il était énorme et il y avait assez circuits d’ampoules de tout type distribués sur l’espace qui s’allumaient et s'éteignaient sans arrêt. J’étais fascinée,  je n’avais jamais vu une telle création. C’était comme voir un jeu de lumières et de sons qui avaient des différents usages que l’homme donne aux circuits de lumières de façon transparente. Cela veut dire qu'à mon avis ces circuits font partie des structures utilisées en divers contextes comme dans les casinos, les panneaux publicitaires et les parcs d’attractions. 

Habiter à Paris me permet de profiter d'un choix important en matière de manifestations culturelles sur lequel je suis très heureuse de pouvoir partager avec mes amis. Après environ deux heures de parcours des salons, je suis partie émue et surtout très impressionnée par la qualité des expositions d’art en France.

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