lundi 24 février 2014

C’est le film que je recommende




Titre: 37°2  LE  MATIN
Le nom du réalisateur: Jean-Jacques Beinex
L’année: 1986
Le Genre: Drame
Les acteurs principaux: Jean-Hugues anglade, Béatrice DALLE
La référence : http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=90562.html

<Le résumé complet>
Zolg (Jean-Hugues Anglade ) habite dans un bungalow près de la mer. Un jour, Betty,(Béatrice DALLE) une jolie jeune femme, débarque soudainement et lui dit qu’elle s’installe avec lui. Ils cohabitent en se noyant dans les plaisirs sous le ciel bleu ensoleillé. Mais, elle s’ennuie bientôt de leur vie. Un jour, Betty découvre par hasard une boîte en carton, dans laquelle il y a beaucoup de cahiers, qui sont des romans de Zorg. Après avoir fini de les lire, Betty glorifie son talent, et s’imagine que Zorg se retire dans la maison afin d’achever le roman.Cependant, il le laisse à l’abandon parce que de bonnes idées ne s’est pas venue à son esprit depuis longtemps. 

Ils partent à Paris,et logent chez Lisa et Eddy. Betty tape jour et nuit à la machine pour publier le roman. Toutefois, aucune maisons d’édition ne repond. 
Un jour, un rédacteur lui envoie une lettre avec une critique mordante. Betty commence à s’agiter. 

La mère d’Eddy est alors meurt, donc il leur demande de tenir un magasain de piano qu’il a hérité de sa mère, car il est patron d’un restaurant, et ne peut pas par conséquent quitter Paris. C’est pourquoi Betty et Zolg l’acceptent et y vont. Elle persiste à vouloir publier le roman, et en conséquence, se tourmente de plus en plus. Puis, elle pensait être enceinte. Néanmoins, elle s’est trompée, et tombe dans un délire. Elle est hospitalisée en urgence, après s’être enlevée un œil. Zolg se décide à la libérer de sa souffrance…


<Ma critique>
Betty est impulsive et d’un tempérament fougueux, ce qui me semble parfois extravagant et son caractère exigeant. Mais elle déborde de charme, de plus elle et est singulière et pure. Je peux affirmer sans exagération que ce film ne tient pas debout sans elle. 

Béatrice DALLE a fait ses débuts dans ce film. Elle nous a parfois montré des expressions excellentes, surtout une scène où elle est à la passerelle en pensant quelque chose. Cela m’a beaucoup impressionnée. D’autre part, Jean-Hugues Anglade, dont le  jeu brillant contribue à la qualité du film, conduit à une meilleure œuvre. Ensuite, ce qui est remarquable, ce sont la musique, les paysages, les images. En outre, la scène finale est exceptionnelle.  On peut l’interpréter diversement, à savoir toutes les histoires sont créées par Zolg ? De même, j’imagine que Betty  est  créée  par lui comme son idéal? Comme ça, nous pouvons développer la scène finale à notre gré.

Personnellement, je ne veux pas connaître l’amour, car cela me fatigue. Toutefois, depuis que j’ai 12ans, j’apprécie parfois ce film ,et ai trouvé que le français est une très belle langue.   La musique, les jeux des comédiens et les images, tous se combinent  harmonieusement par  conséquent, ils m’apportent les émotions. Malgré la film ancienne, il me donne une impression fraîche et il y a plein d’émotion. C’est inoubliable. 

Pour la petite histoire, en 2001, Jean-Jacques Beinex est venu au Japon. Il a fait une conférence à laquelle j’ai assisté avec des amies. Il a raconté une histoire sur 37°2  LE  MATIN, et a dit qu’après l’avoir achevé, il n’avait pas pu tourner d’autre film pendant huit ans. Il s’y est donné corps et âme. 

Nahoko GOCHO
group 5B

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